
J’ai lu Chère Ijeawele d’une traite. Le même soir je l’avais fini. Il n’est pas épais. C’était le soir de la journée consacrée à la jeune fille, le 11 octobre si je me souviens bien. Il se lit facilement. Il est écrit pour.
J’ai aimé l’humilité de l’auteure. Elle reconnaît qu’il est plus facile de donner conseil que de mettre la main à la pâte.
Un manifeste pour une éducation féministe.
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